Qui dit bulle spéculative, dit explosion de la bulle et donc danger potentiel pour tous les Marocains ayant investi. Pas moi. En effet, depuis le début d’année, on entend parler à tout bout de champ des cryptomonnaies au Maroc. Février 2021 a par ailleurs été le «meilleur mois de l'histoire» de la plateforme au Maroc en termes de volumes de négociation, selon Jukka Blomberg, directeur marketing de LocalBitcoins, qui a déclaré qu'«environ 900.000 dollars de bitcoins avaient été échangés sur la plateforme tout au long du mois». Cette base de données est sécurisée et distribuée : elle est partagée par ses différents utilisateurs, sans intermédiaires, ce qui permet à chacun de vérifier la validité de la chaîne dans une transparence totale. Les banques, touchant généralement des commissions sur les transactions et autres mouvements d’argent, se retrouvent en désavantage face à un bitcoin qui est défini par une liberté de mouvement non entravée par des coûts supplémentaires. L’utilisation des monnaies virtuelles interdite au Maroc Les utilisateurs et défenseurs des monnaies virtuelles (crypto-monnaies) dont les plus connues sont le Bitcoin, Litecoin, Ethereum, Monero, Ripple, Potcoin - Pagesafrik est un site d’information indépendant consacré à l’actualité congolaise (Brazzaville et Kinshasa) et africaine en général. Ainsi, sur les 30 derniers jours, les Marocains auraient échangé l’équivalent de 1,5 million de dollars en bitcoins (soit 13 MDH), devant l’Arabie Saoudite avec 1,4 million de dollars ou encore les Émirats arabes unis qui canalisent un volume de 840.000 dollars américains. Une crypto pour les transactions transfrontalières ? Le Maroc interdit la crypto-monnaie Quelques jours après que la société de services digitaux, MTDS, a annoncé son choix d’intégrer le Bitcoin comme moyen de paiement pour la première fois dans le royaume, l'Office national des changes du Maroc et la Banque centrale viennent d’interdire toute transaction liée aux monnaies virtuelles. Le Maroc interdit la crypto-monnaie Quelques jours après que la société de services digitaux, MTDS, a annoncé son choix d’intégrer le Bitcoin comme moyen de paiement pour la première fois dans le royaume, l'Office national des changes du Maroc et la Banque centrale viennent d’interdire toute transaction liée aux monnaies virtuelles. La récente flambée du bitcoin laisse en revanche les Banques centrales de marbre, la plupart considérant les cryptomonnaies comme des produits de niche. En novembre 2017, l’Office des changes du Maroc a informé le grand public que les transactions en monnaie virtuelle constituaient une infraction à la réglementation des changes et étaient passibles de sanctions et d’amendes. Peu après l'annonce de l'acceptation par MTDS, une société marocaine spécialisée dans le numérique, des paiements en cryptomonnaies, ces derniers ont été interdits. Plusieurs projets et efforts ont été entrepris dans le but d’adopter la blockchain à usage professionnel. La formulation est marocaine, mais je vous la livre en français : Quand ils auront éradiqué jusqu’à l’odeur de ce qui ressemble à quelque chose de marocain en Algérie, que leur restera –t-il à faire ? Crypto-monnaie : Le Maroc extrade un Britannique accusé d’escroquerie. Ces problèmes mathématiques découlent du Blockchain, le cahier des comptes d’une crypto monnaie. Vous le saviez, vous, que la SAA et la CAAR, deux grandes compagnies d’assurances algériennes, utilisent un progiciel appelé ORASS, développé par une entreprise marocaine ? Au jour d’aujourd’hui, différents organismes sur internet permettent l’achat de crypto-monnaies, ainsi que leurs ventes. Toute richesse possède une contrepartie, chose que l’on n’observe pas dans le business du Bitcoins, semblant presque créer de la valeur ex-nihilo, en tout cas sans contrepoids négative. Les Marocains bravent l’interdit Ce cahier est tenu par de nombreux volontaires. Ceci, avec des volumes qui croissent brutalement de semaine en semaine, malgré un bannissement des cryptos depuis 2017. Une croissance phénoménale qui a donné envie aux businessmen du monde entier de tenter l’aventure au vu des chiffres alléchants. Je laisse la réponse à l’appréciation de chacun. En fait, les champs d’exploitation de la blockchain sont immenses : banques, assurances, industries, supply chain... De façon générale, la blockchain pourrait remplacer la plupart des tiers de confiance (Banque centrale, dépositaires, notaires, etc.). Cependant elle ne dépend pas d’un organisme central, mais uniquement d’une demande liée aux transactions. Le Maroc et ses espaces maritimes - Par Mustapha SEHIMI, Industrie automobile, l'embellie pointe sa calandre, Les transferts des migrants résistent au COVID-19, une hausse de 6,5% pour le Maroc (Banque Mondiale), Le CESE pour des souks hebdomadaires en milieu rural rénovés, La répartition des revenus au Maroc : un domaine encore dans l’opacité, Le premier rapport annuel de l'Observatoire des délais de paiement voit le jour, L'arganier, arbre endémique du Maroc, célébré par la communauté internationale, Maroc et ONU célèbrent à Agadir la première Journée Internationale de l’Arganier. L'Office des Changes, le ministère des Finances, Bank Al-Maghrib et l'AMMC sont unanimes: les Bitcoins, comme toute autre monnaie virtuelle (ou crypto-monnaie), ne seront pas tolérés au Maroc. Les autorités du pays ne sont pas passées par quatre chemins pour annoncer l’interdiction des transactions en bitcoin dans le royaume, après que la société de services numériques MTDS s’est dite ouverte et favorable aux transferts en crypto monnaie pour le règlement de ses services. En effet, un nouveau Comité institutionnel dédié à cette thématique vient de voir le jour au sein de la banque «Central Bank Digital Currency» (CBDC). Les échanges sur des plateformes de pair à pair connaissent un essor sans précédent et LocalBitcoins a même connu en février 2021 le « meilleur mois » de son histoire au royaume chérifien. Et comme dit précédemment, pas de couts de transactions, contrairement aux transferts traditionnels. Cryptomonnaie : bien qu’interdite au Maroc, son usage se banalise. Mais Pourtant il est difficile de nier totalement l’apport de ces nouvelles monnaies. Chaque transaction crée un problème mathématique. Pour l’heure, il est strictement interdit d’utiliser des cryptomonnaies. Aucun moyen de savoir s’il s’agit de personnes physiques ou de groupes de militants, de sociétés commerciales. Maintenant cette posture peut être interprétée de deux façons : une volonté de protéger les citoyens marocains, ou une intention de sauvegarder les institutions financières marocaines. Forcément, pour certains curieux initiés, cela donne envie de bazarder son compte sur carnet ou autres types de placement et de prendre l’autoroute (incertaine?) Bank Al-Maghrib (BAM), qui a toujours suivi d’un œil attentif les évolutions numériques mondiales, s’est inscrite dans cette lignée. La réflexion sur les monnaies de Banques centrales s'était intensifiée avec les inquiétudes autour du projet dévoilé en 2018 par le géant américain Facebook, qui a toutefois depuis revu ses ambitions à la baisse. l’image qui parle, la photo qui a du sens. Au final, alors que l’utilisation du cash vole de record en record, ce n’est plus une question de. Selon un rapport de Bank al Maghrib, la crypto monnaie est dangereuse pour plusieurs raisons. Pas moi. L’information est un Les gouvernements ne pouvant plus ignorer l’engouement pour ces monnaies … Les achats de bitcoins sont en hausse malgré une interdiction des crypto-monnaies dans le pays d’Afrique du Nord. Février 2021 a été le «meilleur mois de l'histoire» de la plate-forme au Maroc en termes de volumes de négociation, selon Jukka B Articles, décryptages, dépêches et sujets plus Consommant énormément d’énergie cette industrie pourrait encore s’ajouter à la liste déjà conséquente des risques écologiques. L’AFRIQUE, PROCHAINE PUISSANCE MONDIALE ? Jouer la montre, crier au complot extérieur, c’est tout ce qu’il lui semble approprié comme option politique. Février 2021 a par ailleurs été le. En substance, ce Comité a pour rôle d'identifier et analyser les avantages, mais aussi les risques d’une CBDC pour l’économie marocaine. Alors Nouvel ElDorado ou Nouvelle illusion d’internet ? En vulgarisant, il s’agirait d’un immense « cahier, que tout le monde peut lire librement et gratuitement, sur lequel tout le monde peut écrire mais qui est impossible à effacer et indestructible » écrit le mathématicien Jean-Paul de La-Haye. Le développement de la technologie blockchain est difficilement envisageable sans la promotion des cryptomonnaies qui font le lit de l’innovation. Il s’agit de nouvelles unités créées uniquement pour eux. Dimanche 18 avril, le Bitcoin a lâché 15% de sa valeur à 51.000 dollars. Ovni de la planète finance, le bitcoin fait de plus en plus d’adeptes au Maroc en dépit de son interdiction par les autorités. A l’époque, le ministère de l’économie et des finances, Bank Al-Maghrib (BAM) et l’Autorité marocaine du marché des capitaux (AMMC) ont mis le public en garde contre l’utilisation de cet instrument comme moyen de paiement. Quand ce problème est résolu, l’entité responsable reçoit un montant de CM en récompense (c’est ainsi qu’est créée la monnaie). Autant de dissensions qui nous laissent juste le choix d’observer de quoi accouchera ce phénomène. Ces nouvelles monnaies selon certains experts seraient à la base de l’économie de demain, pour d’autres, elles correspondent à la création de bulles spéculatives dangereuses. l’honnêteté : séparer clairement l’information Pour comprendre pourquoi le royaume a officiellement interdit la circulation des crypto monnaies ainsi que l’adoption de celles-ci comme modes de paiements, nous avons contacté Bank al Maghrib et l’Office des Changes. Une crypto monnaie, soit une monnaie virtuelle déconnectée d’une politique monétaire ou d’une banque centrale en particulier, ne répondant ainsi qu’à la pure loi de l’offre et de la demande, sans aucune influence possible sur le marché. L’interdiction entrera en vigueur le 30 avril. Pays où Ethereum est légal. Les contrats à terme sont des accords permettant de faire du trading de crypto-monnaies après une certaine période de temps à un prix fixe. Interdites au Maroc depuis 2017, les transaction en cryptomonnaies s’y portent pourtant comme un charme. Saviez-vous aussi que la Start-up marocaine basée à Rabat, Orsys Communication qu’elle s’appelle, qui a développé ce progiciel, est spécialisée dans la conception des logiciels modernisant la gestion des compagnies d’assurances ? Ce comité se chargera également de coordonner avec les autorités nationales les mesures à entreprendre au regard de. L’évolution des volumes d’activité sur cette crypto, elle, est en progression exponentielle au Maroc depuis l’été 2019. Que le pouvoir algérien s’agite sut tous les fronts, intérieurs comme extérieurs, avec ce que le quotidien Algérie Matin appelle une « mentalité d’assiégé », est une option d’acculé qui peut se comprendre, tant il a de soucis à se faire depuis qu’à cause ou grâce, c’est selon, au hirak il ne peut ni franchement réprimer ni ne veut, même partiellement, satisfaire. Quid.ma est un espace pluriel. En effet, malgré l’interdiction des crypto monnaies au Maroc, les transactions des Marocains sur des plateformes mondiales ont augmenté de manière spectaculaire en 2020 et en 2021.. Ce qui n’est pas sans risque surtout entre des mains novices ou inexpérimentées face à des traders aguerris au service des entreprises mondiales « Cash positive » et surtout face à … Cet engouement sans précédent pour les cryptos interroge, alors que les transactions en monnaie virtuelle sont formellement interdites au Maroc et constituent officiellement une infraction à la réglementation des changes du pays. Toutefois, BAM estime que «dans le contexte actuel, et compte tenu des différentes réformes engagées par Bank Al-Maghrib pour la promotion des moyens de paiement électroniques et la réduction du cash, et dont les retombées ne peuvent être évaluées qu’à moyen terme, il serait prématuré d’envisager à court terme l’émission d’une monnaie digitale». Et pas seulement pour le bitcoin qui a franchi le seuil des 60.000 dollars (564.000 DH l’unité) et dont la capitalisation dépasse désormais les 1.000 milliards de dollars. Ces as de l’informatique, dont le seul tort est d’être marocains, ont donné l’urticaire au pouvoir en Algérie qui, sur « décision présidentielle », ordonne de les évacuer des entreprises algériennes. Le Maroc ne sera pas le premier pays africain à interdire l’utilisation des monnaies virtuelles sur son territoire. Depuis l’interdiction des crypto-monnaies au Maroc de novembre 2017 à février 2021, les volumes de trading sur LocalBitcoins ont augmenté de plus de 215 %. Le 19/04/2021 à 17h56 Par La rédaction. légers seront au rendez-vous. Le bon et le mauvais gras En parallèle avec cette interdiction, la classe gouvernante marocaine n'est pas entièrement contre les initiatives blockchains. Plus il y a de transactions, plus les problèmes seront générés, ainsi la quantité de CM en circulation augmente. Récemment, le gouvernement algérien a décidé d’interdire l’utilisation de cette monnaie dans son projet de loi des finances 2018. Résultant dans l’instabilité des monnaies en cas de fluctuations du cours de ces matières premières. Depuis l’année de l’interdiction, les volumes moyens ont grimpé de 50%. Elles sont considérées comme monnaies alternatives car aucun pays n’a encore adopté une crypto-monnaie comme monnaie officielle. Rappelons dans ce sens que les Émirats arabes unis collaborent actuellement avec la Banque centrale d'Arabie Saoudite pour émettre une monnaie numérique, appelée «Aber», qui serait acceptée dans les transactions transfrontalières entre les deux pays. Maroc; Zambie; Népal; Egypte; Samoa Américaines; Qatar; Notez que malgré les interdictions et les restrictions, ces lois n’ont pas éliminé Bitcoin ou d’autres transactions de cryptomonnaies et leur utilisation. Tout récemment, le groupe OCP a été la première entreprise africaine à exécuter une transaction commerciale intraafricaine utilisant la technologie blockchain. Cet engouement sans précédent pour les cryptos interroge, alors que les transactions en monnaie virtuelle sont formellement interdites au Maroc et constituent officiellement une infraction à la réglementation des changes du pays. Bank Al-Maghrib (BAM), qui a toujours suivi d’un œil attentif les évolutions numériques mondiales, s’est inscrite dans cette lignée. Mais on commence à constater que cette nouvelle industrie du «crypto mining » pose une nouvelle problématique écologique. Aucun gouvernement n'a le pouvoir d'interdire véritablement les cryptomonnaies décentralisées à moins d'interdire l'utilisation d'Internet. n’est pas l’objectivité, elle est relative. Transparente, terme qui pose un contraste avec l’opacité des organismes financiers d’aujourd’hui. La crypto-monnaie est vue par les autorités marocaines comme un système occulte qui permet de contourner les lois nationales. Première question fondamentale, qu’est-ce qu’un BITCOIN ? Ces transactions étant encore considérées comme un simple achat sur internet. En cela, le patron du CMI expliquait : «Il y a possibilité aussi de créer une cryptocurrency qui soit backée par une vraie monnaie à cours légal. La majorité des Banques centrales est toutefois encore loin de lancer des versions numériques de leur monnaie. Ce comité se chargera également de coordonner avec les autorités nationales les mesures à entreprendre au regard de l’évolution de l’usage des cryptoactifs au niveau national et international. Le rallye actuel qui a débuté l’année dernière sur le marché global des crypto-devises a stimulé la demande de Bitcoins et d’autres crypto-monnaies à l’échelle mondiale. En avouant humblement mon ignorance, j’aimerai tout d’abord remercier le site Algérie Part qui a été chercher ces informations pour les publier, mais pas seulement Algérie part. Une opération de 400 millions de dollars avec la Banque de commerce et de développement de l'Afrique de l’Est et australe (Trade and Development Bank). Une chute causée notamment par l'annonce de la banque centrale de Turquie d'interdire les transactions en cryptomonnaie à partir du 30 avril. Aujourd’hui il atteint une valeur de 18000 dollars. La crypto monnaie la plus connue est le Bitcoin, générant aujourd’hui un flux monétaire de trois milliards de dollars. « Par extension, une blockchain constitue une base de données qui contient l’historique de tous les échanges effectués entre ses utilisateurs depuis sa création ». En effet, selon l’Office des changes, gendarme financier du royaume, toute transaction en cryptomonnaie sur le territoire marocain est interdite depuis 2017. Les Marocains sont de plus en plus friand de crypto-monnaies. Le Maroc interdit le Bitcoin. Au final, alors que l’utilisation du cash vole de record en record, ce n’est plus une question de «si» mais «quand» aurons-nous besoin d’une cryptomonnaie règlementée au Maroc ? Ses armes : Le mot juste, De l’avis de Badr Bellaj, cofondateur de l’entreprise technologique Mchain, Le développement de la technologie blockchain est difficilement envisageable sans la promotion des cryptomonnaies qui font le lit de l’innovation. Bien qu’interdit au Maroc, l’usage des cryptomonnaies existe de manière illicite. « Les risques associés à l’utilisation des crypto monnaies sont aujourd’hui connus, plusieurs autorités monétaires et financières à travers le monde ont alerté le public sur les risques des crypto monnaies ; notre rôle est donc d’alerter nos concitoyens et d’appeler au respect de la réglementation des changes » nous répond l’office des change, pointant du doigt les nombreuses autres analyses allant dans ce sens. Objectifs : identifier et analyser les apports, les bénéfices ainsi que les risques d’une CBDC pour l’économie nationale; examiner en profondeur toutes les conséquences de la CBDC sur la politique monétaire, la structure de l’intermédiation bancaire, la stabilité financière et le cadre juridique. Ils possèdent les mêmes pages du registre et après les avoir comparées (pour identifier toutes erreurs ou différences) ils peuvent valider une transaction et fournir un nouveau problème à résoudre pour les mineurs. Visiblement oui. Un montant de 270 millions de dollars a déjà été exécuté, tandis que le reste est prévu durant les prochains mois. Et pourquoi ne pas imaginer dans la zone CEDEAO faire les échanges en monnaie virtuelle régionale à valeur légale. Crypto-monnaies : La position marocaine Lorsque le Bitcoin a pris de l'envergure au Maroc, notamment avec la prolifération de rabatteurs pour les plateformes de trading, l'Office des changes s'était empressé de rappeler que ce type de placements est interdit … Selon nos confrères de Telquel , les transactions sont estimées à plus de 200 000 dollars par jour, soit l’équivalent de 25 bitcoins. Le problème est partout, sauf en lui. J’aimerai aussi remercier le président algérien Abdelmadjid Tebboune et ses donneurs d’ordre qui, par l’étroitesse de leur esprit, ont fourni à la Start-up marocaine une publicité à laquelle elle n’aurait jamais songé même dans ses rêves les plus fous. l’image qui parle, la photo qui a du sens. A titre illustratif, utiliser la blockchain comme canal de distribution des aides financières au profit des ménages au Maroc n’est pertinent que s’il existe une monnaie digitale». Selon eux toujours, la technologie blockchain présente de nombreux avantages, notamment une empreinte carbone plus faible, des opérations plus sécurisées grâce aux technologies de cryptage et de vérification, plus de transparence et de traçabilité, et la réduction de risques grâce à l’élimination d’éventuelles erreurs et ambiguïtés dans l'échange et la modification des documents. du commentaire. Ces algorithmes génèrent la monnaie elle-même et permettent les transactions anonymes sur internet sans frais. Plus de «8 millions de dirhams ont été échangés pour acheter des bitcoins en un mois sur une plateforme au Maroc», écrit dimanche le média néerlandais Caribe Magazine. Ou peut-être juste d’un pétard mouillé. de la spéculation sur ces monnaies virtuelles dans l’espoir de devenir Crésus en une poignée de semaines. Cette monnaie peut donc être utilisée dans différents milieux, notamment dans des milieux illicites. Sur la seule dernière semaine, les transactions en dirham marocain totalisaient près de 343.725 dollars, soit plus de 3 MDH. L’Office des changes, Bank Al-Maghrib, ainsi que le Groupement des professionnels des banques du Maroc avaient interdit l’adoption du paiement par crypto monnaies, du fait qu’elles sont volatiles et peuvent être utilisées dans des transactions illicites. Cependant comment contester la volonté innovatrice et enthousiaste d’une nouvelle génération qui veut s’approprier une économie toujours aux mains d’une autre génération, anxieuse de la partager. Lorsque les experts évaluent l’état du marché de la crypto-monnaie, ils se concentrent sur la situation du commerce au comptant. L’algérien préfère la fuite en avant permanente. Ensuite un risque financier lié à la volatilité de leurs cours de change. Pas moi. combat de tous les jours. Le Maroc s’est concentré uniquement sur ses failles mais les crypto-monnaies possèdent des avantages et des qualités. C’est aussi la réputation du Bitcoin, perçue (à tort) comme la monnaie des transactions illicites sur le web, qui a justifié son interdiction au Maroc. Le Maroc est le 4e pays africain et le 3e pays arabe à réaliser les plus gros volumes. Or, la technologie blockchain de Dltledgers permet à toutes les parties prenantes de réaliser la transaction numériquement et de compléter l’opération d'import-export en moins de deux heures, alors que les transactions «papier» équivalentes sont généralement conclues en trois semaines ou plus, en raison du délai nécessaire aux fournisseurs pour le transfert de documents physiques à l’acheteur via le système bancaire traditionnel. Cette monnaie sera utilisée d’abord par les banques et non par les consommateurs individuels, et rendra les transactions plus efficaces. Et en bout de chaîne, on peut la convertir en monnaie de son pays; cela éviterait pas mal de frictions et de coûts de change et permettra aussi un gain de temps». L’intérêt est à son paroxysme. Cet engouement sans précédent pour les cryptos interroge, alors que les transactions en monnaie virtuelle sont formellement interdites au Maroc et constituent officiellement une infraction à la réglementation des changes du pays. Le bitcoin et les crypto monnaies étant une menace directe qui pourrait à terme les rendre obsolètes. Tout ce qu’il faut savoir avant de commencer la journée, abonnez-vous ! Le 23/03/2021 à 14h55 Par La rédaction. Campagne agricole 2020/2021 en chiffres : L’une des meilleures de ces dix dernières années, Covid-19, une fenêtre d'opportunités pour accélérer l'accès à une énergie durable (PCNS), Bitcoin et autres crypto-monnaies : avantages et risques expliqués par de Marocains aux Marocains, Ménages : 10% de la population les plus aisés concentrent près de 38% du total des revenus, Les bienfaits de la pandémie sur l’E-commerce au Maroc, Le Maroc dans un monde qui tend à la fin du dumping fiscal…, Santé: Compétences et investissement étrangers permettront un ''transfert de technologie'' (A. Seddiki), Mustapha Sehimi : La diplomatie espagnole semble à la remorque, Que l’Espagne dégage alors – Par Seyf Remouz, Une petite leçon de choses - Par Khalil Hachimi Idrissi, Chronique d’une crise : une vrai-fausse entente sapée par un vrai-faux passeport, Rabat interdit tout attroupement ou rassemblement sur la voie publique, Deux millions de dollars déjà, les enchères pour un siège vers l'espace s'emballent, ''Eye on the street'', un concours d'art vidéo pour bicentenaire de la Légation américaine de Tanger, D'Oum Kalthoum à Dalida, l’hommage de l'IMA, Les abeilles, ces pollinisateurs indispensables à la sécurité alimentaire, Le département d’Etat américain publie sur son site la déclaration tripartite, Sport scolaire : Des filières de foot féminin dans le cursus sport-études (Video), Super League ou l’argent moteur et nerf de la guerre. l’évolution de l’usage des cryptoactifs au niveau national et international. La frénésie des crypto-monnaies au Maroc malgré l’interdiction de Bank Al Maghrib. Sur la seule dernière semaine, les transactions en dirham marocain totalisaient près de 343.725 dollars, soit plus de 3 MDH. Le Maroc interdit les cryptomonnaies, mais soutient les blockchains professionnelles ou institutionnelles Les transactions en bitcoin volent de record en record depuis le début de l’année. L’utilisation des crypto monnaie est discrète, anonyme, rapide ainsi que sans frontières. Quelles en sont les raisons? Ces entités sont appelées des mineurs (miners). Ou d’une révolution de la finance ? En effet, il est très complexe de donné un chiffre exact quant au montants des transactions et échange effectués par les marocains. Pour comprendre pourquoi le royaume a officiellement interdit la circulation des crypto monnaies ainsi que l’adoption de celles-ci comme modes de paiements, nous avons contacté Bank al Maghrib et l’Office des Changes. Il faut rappeler que l’usage des crypto-monnaies est formellement interdit au Maroc depuis fin 2017. Rabat - Le ministre de l'Education nationale, de la formation professionnelle, de l'enseignement sup, Casablanca - A la veille de l'annonce de l'UEFA de son nouveau format de la Ligue des Champions prév. Ainsi que « sans organe central de contrôle », cela représentant l’élément dangereux poussant certains gouvernements à se méfier. Aujourd’hui, les voilà qui partent à la chasse de ce qui reste d’une coopération anémique pour en finir avec tout ce qui peut relier les Algériens au Maroc. lecteur pour se faire sa propre opinion. Quels sont les dangers d’un scénario où ces monnaies seraient acceptées? Saviez-vous encore que depuis 2020, pas moins de 50 compagnies d’assurances en Afrique utilisent ORASS pour gérer leurs systèmes informatiques internes de bout en bout ? L’évolution des volumes d’activité sur cette crypto, elle, est en progression exponentielle au Maroc depuis l’été 2019. Voilà la posture du gouvernement marocain, vigilante et conservatiste. Pour lui, le Maroc est en train de se protéger contre un faux danger, celui des cryptomonnaies. Enfin, une extraterritorialité permettant de dématérialiser, rendant anonyme et ainsi facilitant des fraudes ou des blanchissements. La banque centrale de Turquie a interdit l'utilisation de crypto-monnaies et d'actifs cryptographiques pour acheter des biens et des services, invoquant d'éventuels dommages "irréparables" et des risques de transaction importants dans un mouvement qui a refroidi les prix mondiaux du bitcoin. Aux termes de la législation en vigueur, les transactions en bitcoins au sont passibles d'environ cinq ans de prison et 1500 € d'amende. Coindesk, site d'information spécialisé en cryptomonnaies s'attend à des annonces similaires en Inde et au Maroc. Les crypto-monnaies sont interdites au Maroc, mais la plateforme d’échange de bitcoins peer-to-peer LocalBitcoins fait état de records d’échanges cette année. Il y a moins de deux mois, les généraux algériens ont été débusquer à la frontière maroco-algérienne de pauvres paysans marocains qui cultivaient des dattes de grands-pères en petits-fils depuis des temps immémoriaux pour les déposséder et les expulser. Il Pourtant, l’utilisation des crypto-monnaies est interdite dans le royaume. Et pas seulement pour le bitcoin qui a franchi le seuil des 60.000 dollars (564.000 DH l’unité) et dont la capitalisation dépasse désormais les 1.000 milliards de dollars. Cette position va dans le sens de l’analyse apportée par l’office des changes , qui a pu répondre à nos quelques questions, notamment sur le choix de ne pas encadrer au lieu d’interdire ; « la mission de l’office des changes et de veiller au respect de la réglementation des changes, toute évolution de la réglementation des changes doit notamment être exempte de tout risque sur les  équilibres macro-économiques de notre pays, pour ce qui des crypto monnaies, d’une part, leur conception actuelle , les exclut de tout encadrement , d’autre part nous pensons que quand bien même il y aurait un encadrement cela  ne permettra pas d’éliminer les risques qu’elles comportent » déclare un responsable de l’office des changes. Sa croissance exponentielle peut laisser place à une chute tout aussi fulgurante. Cette transaction a permis de financer l’expédition d’engrais phosphatés du Maroc vers l’Éthiopie. De plus, les acteurs de ces monnaies sont non régulés et peuvent présenter certains profils. L’intérêt est à son paroxysme. Le bon et le mauvais gras En parallèle avec cette interdiction, la classe gouvernante marocaine n'est pas entièrement contre les initiatives blockchains. Les avis sont partagés et personne ne peut prétendre détenir une vérité absolue tant l’histoire nous a mis en garde contre les histoires trop belles. En effet, depuis le début d’année, on entend parler à tout bout de champ des cryptomonnaies au Maroc. Il faut savoir que celle-ci tire sa force de la finance (gestion de monnaie).