élection américaine candidat
L'élection présidentielle américaine de 2020 aura lieu le 3 novembre 2020 afin d'élire le président des États-Unis. Elle refuse d'ailleurs d'organiser les traditionnelles levées de fonds auprès des donateurs les plus riches du parti. Tom Steyer. La démocrate de 70 ans est connue pour sa lutte acharnée contre la corruption et les grandes firmes, rappelle le New York Times*. Il était en revanche favorable au projet d'un "Green New Deal" et à un contrôle plus strict des armes à feu. En 2016, elle a démissionné du Comité national démocrate pour soutenir Bernie Sanders durant les primaires, rappelle The Atlantic*. Selon CNN*, ce modéré voulait réduire la dette étudiante, lutter contre le réchauffement climatique et jugeait "sadique" la politique de Donald Trump sur l'immigration. Il souhaitait par ailleurs élargir l'accès à la couverture santé, renforcer le contrôle du port d'armes et réguler plus strictement les forages pétroliers, selon, engrangé une victoire importante en Caroline du Sud, intentions de vote en moyenne au niveau national, moins de 1% des intentions de vote en moyenne. un salaire horaire minimum de 15 dollars, (ALEX WONG / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / AFP), Le sénateur du Colorado a également annoncé qu'il suspendait sa campagne, mardi 11 février. Deux candidats s'opposent : le démocrate Joe Biden et Donald Trump, le président républicain sortant. Créditée de 6% des intentions de vote en moyenne au niveau national, elle avait remporté un délégué dans l'Iowa et six dans le New Hampshire. Andrew Yang a annoncé, mardi 11 février, qu'il se retirait de la course à l'investiture. Le modéré de 55 ans, connu pour chercher le compromis avec les républicains, proposait de rendre la maternelle gratuite au niveau national et d'augmenter les salaires des professeurs. Il défend l'idée d'une couverture santé universelle financée par l'Etat fédéral, d'une université publique gratuite, d'une annulation des dettes des étudiants et d'un salaire horaire minimum à 15 dollars. Tulsi Gabbard, une Hawaïenne de 38 ans, est la première Américaine de confession hindoue à exercer un mandat à la Chambre des représentants. Ce modéré au profil atypique, ancien maire de la quatrième plus grande ville d'Indiana, était le plus jeune candidat à la présidentielle de l'histoire américaine et le premier ouvertement homosexuel. Son hospitalisation pour un infarctus, en octobre, a soulevé des questions sur son âge avancé, r… Elizabeth Warren est entrée en politique en 2011, après une carrière de professeure de droit et d'avocate. Son parcours. (ALEX WONG / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / AFP). Pour les départager, des primaires sont organisées dans 57 Etats et territoires américains, entre le 3 février et le 6 juin. Chaque matin à 7h30, recevez l'actu du jour dans votre boîte mail. Entré tardivement dans la campagne, il était crédité de moins de 1% des intentions de vote en moyenne, au niveau national. À … Finaliste malheureux des primaires de 2016 face à Hillary Clinton, il espère décrocher cette fois l'investiture grâce aux soutiens de jeunes étoiles du parti comme Alexandria Ocasio-Cortez. Il est le 18e candidat à ces primaires démocrates à abandonner la compétition, mais le premier à prendre cette décision après le début officiel des scrutins. * Tous les liens signalés par un astérisque renvoient vers des articles en anglais. Il souhaite également instaurer une taxe sur la fortune des 0,1% de foyers américains les plus riches, détaille le Washington Post. Le milliardaire de 62 ans, donateur de longue date du camp démocrate, est connu pour son activisme sur les questions environnementales et en faveur de la destitution de Donald Trump, rappelle le New York Times*. Elizabeth Warren "a un plan" pour tout (cette phrase, répétée à l'envi, est en quelque sorte devenu son slogan officieux). Elizabeth Warren, en quatrième position dans les sondages, est créditée de 14% des intentions de vote en moyenne au niveau national. Elle a obtenu huit délégués dans l'Iowa, mais a encaissé des échecs dans les trois Etats suivants. Joe Biden est l'un des visages les plus connus de la campagne. Pete Buttigieg. La sénatrice du Massachusetts, Elizabeth Warren, lors d'un meeting de campagne à Cedar Rapids (Iowa), le 26 janvier 2020. Bernie Sanders incarne l'aile gauche des démocrates. La représentante d'Hawaï, Tulsi Gabbard, lors d'une interview à Washington, le 9 janvier 2020. Son parcours. Cet entrepreneur de 45 ans proposait d'instaurer un revenu universel s'élevant à 1 000 dollars mensuels pour tout Américain de plus de 18 ans et de lutter contre les conséquences néfastes de la robotisation du travail et du développement de l'intelligence artificielle. Il était crédité de 4% des intentions de vote dans les sondages en moyenne, au niveau national. Le candidat du Parti démocrate désigné pour lui faire face est Joe Biden, vice-président de 2009 à 2017. Tous espèrent battre Donald Trump lors de la présidentielle américaine de novembre. Ce proche de Barack Obama est devenu en 2006 le deuxième Afro-Américain élu au poste de gouverneur, dans le Massachusetts. Il soutenait l'idée d'une assurance santé universelle, sans aller jusqu'à proposer qu'elle soit intégralement financée par l'Etat fédéral, relève le Washington Post*. Elle est la seule membre de la Chambre à s'être abstenue lors du vote sur l'impeachment de Trump. Cinq candidats restent en lice pour l'investiture du Parti démocrate, qui sera officiellement annoncée lors de la convention nationale en juillet. Il militait* pour un impôt sur la fortune des plus riches et avait présenté un ambitieux programme contre la crise climatique. Son programme. Présidentielle américaine : pourquoi les caucus de l'Iowa sont un fiasco pour le Parti démocrate, Primaire démocrate aux États-Unis : Michael Bloomberg, grand absent du caucus de l'Iowa, Présidentielle américaine : l'article à lire pour tout comprendre aux primaires démocrates, Attentat à Nice : la communauté internationale apporte son soutien à la France, PODCAST. Le modéré de 55 ans, connu pour chercher le compromis avec les républicains, proposait de rendre la maternelle gratuite au niveau national et d'augmenter les salaires des professeurs. Michael Bloomberg. Deval Patrick. Agé de 78 ans, le sénateur du Vermontdéfend une «démocratie socialiste» : il promeut la mise en place d'une couverture santé universelle, d'une université … Bernie Sanders prend la parole à l'occasion des célébrations du Martin Luther King Day, à Columbia (Caroline du Sud), le 20 janvier 2020. France Télévisions utilise votre adresse email afin de vous adresser des newsletters. Il a jeté l'éponge samedi 29 février. Après avoir longtemps été en deuxième position dans les sondages, "Bernie" est désormais en tête avec 29% des intentions de vote en moyenne, au niveau national, selon l'agrégateur du New York Times* (franceinfo a choisi cet agrégateur comme référence tout au long de l'article). Et l'un des plus expérimentés. Son programme. Ancien membre de l'administration Clinton, Deval Patrick, 63 ans, a annoncé son abandon mercredi 12 février. C'est un partisan de l'ambitieux "Green New Deal", qui propose de déclarer l'urgence nationale sur le réchauffement climatique et de mettre fin à l'utilisation des énergies fossiles d'ici 2050. Michael Bennet. Soyez alerté(e) en temps réel avec l'application franceinfo : Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation. Il s'agit de la cinquante-neuvième élection présidentielle américaine depuis la première en 1788-1789. L'élue d'Hawaï est opposée aux déploiements de soldats américains dans des conflits étrangers, après avoir elle-même servi en Irak, explique le New York Times*. Comme Bernie Sanders, elle défend l'idée d'une couverture santé universelle financée par l'Etat fédéral, un salaire horaire minimum de 15 dollars, la gratuité du cursus universitaire et une réforme du collège électoral. Franceinfo fait les présentations avec chacun des cinq concurrents. Les primaires du Parti démocrate, qui se tiennent du 3 février au 6 juin, doivent déterminer quel candidat affrontera Donald Trump lors de la présidentielle de novembre. Le bilan de ce très long parcours lui a valu de nombreuses critiques de ses rivaux, comme le rappelle le Los Angeles Times*. Sa position dans les sondages. A 78 ans, Bernie Sanders est le doyen des primaires. Pour exercer vos droits. Il a pris position en faveur de la gratuité du premier cycle de l'université, veut rendre l'assurance santé accessible à plus d'Américains et s'est engagé à joindre à nouveau l'Accord de Paris sur le climat dès son premier jour de mandat. A la veille du "Super Tuesday", il est crédité de 17% des intentions de vote en moyenne, au niveau national. Amy Klobuchar. États-Unis : dernière ligne droite d’une campagne hors norme. Modérée, elle avait présenté un plan de 100 milliards de dollars pour lutter contre l'addiction à l'alcool et aux drogues, voulait réduire le coût des médicaments et s'attaquer à la crise des opioïdes, note le New York Times*. Il souhaitait par ailleurs élargir l'accès à la couverture santé, renforcer le contrôle du port d'armes et réguler plus strictement les forages pétroliers, selon Politico*. Dès le départ, il est apparu comme l'un des favoris, aux côtés de Joe Biden, nombreux étant ceux qui estiment qu'il aurait pu battre Donald Trump s'il avait été le candidat démocrate il y a quatre ans. L'ancien vice-président appelle également au développement d'une économie tournée vers les classes moyennes (notamment grâce à un salaire horaire minimum de 15 dollars, contre 7,25 aujourd'hui). L'ancien vice-président Joe Biden lors d'un meeting de campagne à Iowa City (Etats-Unis), le 30 janvier 2020. (SEAN RAYFORD / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / AFP), l'idée d'une couverture santé universelle financée par l'Etat fédéral, d'une université publique gratuite, d'une annulation des dettes des étudiants et d'un salaire horaire minimum à 15 dollars. Les élections présidentielles américaines sont organisées mardi 3 novembre 2020. Ce candidat représentant l'aile conservatrice du parti a estimé, mercredi 4 mars, que Joe Biden était désormais le mieux placé pour battre Donald Trump. Il n'a jamais obtenu plus de 1% d'intentions de vote en moyenne, au niveau national. (JERKER IVARSSON / AFTONBLADET / TT NEWS AGENCY / AFP). Démocrate, puis républicain, puis indépendant et finalement de nouveau démocrate, l'ancien maire de New York, âgé de 78 ans, avait décidé d'ignorer les premiers scrutins des primaires, pour concentrer ses efforts sur les plus gros Etats, pourvoyeurs de plus de délégués. La sénatrice du Minnesota est avocate et ancienne procureure. Sa position dans les sondages. Finaliste malheureux des primaires de 2016 face à Hillary Clinton, il espère décrocher cette fois l'investiture grâce aux soutiens de jeunes étoiles du parti comme Alexandria Ocasio-Cortez. Elle est par ailleurs favorable à la gratuité des universités, à un salaire horaire minimum de 15 dollars et à une réduction du budget de la défense. Après avoir disputé jusqu'au bout l'investiture démocrate à Hillary Clinton en 2016, Bernie Sanders a annoncé le 19 février 2019 qu'il serait à nouveau candidat. Son programme. Après des échecs dans les trois premiers Etats des primaires, il a engrangé une victoire importante en Caroline du Sud et a désormais 48 délégués. Mais elle a été critiquée pour avoir rencontré le président syrien, Bachar Al-Assad, en 2017, et pour ses positions homophobes* dans sa jeunesse. Le sénateur indépendant du Vermont se définit comme un "socialiste", un terme longtemps décrié aux Etats-Unis, et n'a jamais officiellement rejoint le Parti démocrate. Joe Biden a caracolé en tête des enquêtes d'opinion jusqu'au début du mois de février, avant d'être devancé par Bernie Sanders. Le sénateur du Colorado a également annoncé qu'il suspendait sa campagne, mardi 11 février. A 78 ans, Bernie Sanders est le doyen des primaires. Son programme. Joe Biden veut restaurer la place des Etats-Unis sur la scène internationale, qu'il estime fragilisée par la présidence de Donald Trump, détaille CNN*. Andrew Yang. A la veille du "Super Tuesday", il est également en tête du décompte des délégués, avec 56 voix. Présidentielle américaine : qui sont les quatre candidats aux primaires démocrates ? Son parcours. La sénatrice du Massachusetts a été vivement décriée au début de la campagne, pour avoir fait un test ADN censé prouver qu'elle comptait des natifs américains parmi ses ancêtres. La sénatrice compte en partie financer ces réformes par une taxe sur les revenus des "ultrariches", prélevée à partir de 50 millions de dollars. Après avoir créé la surprise dans l'Iowa et remporté 26 délégués, Pete Buttigieg a annoncé la suspension de sa campagne dimanche 1er mars. Enfin, Bernie Sanders souhaite réformer l'élection présidentielle, aujourd'hui au suffrage indirect. Sa position dans les sondages. Le sénateur indépendant du Vermont se définit comme un "socialiste", un terme longtemps décrié aux Etats-Unis, et n'a jamais officiellement rejoint le Parti démocrate. Le président en fonction, Donald Trump, est candidat à un second mandat. Il est arrivé troisième en Caroline du Sud, mais n'a jamais dépassé les 2% d'intentions de vote en moyenne, au niveau national. Créditée de moins de 1% des intentions de vote en moyenne, Tulsi Gabbard n'a jamais réussi à décoller dans les sondages et n'a obtenu aucun délégué. Elle souhaite atteindre 100% d'énergies vertes en dix ans et a décliné son plan de lutte contre le réchauffement climatique dans plusieurs secteurs, explique le Washington Post*. Ancien vice-président de Barack Obama, il avait auparavant représenté le Delaware au Sénat durant trente-six ans. Son parcours. Son parcours. (SEAN RAYFORD / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / AFP). Ce démocrate modéré de 77 ans a déjà été candidat aux primaires à deux reprises et considère cette campagne comme sa dernière chance de s'installer à la Maison Blanche. Pari raté pour le milliardaire, patron du groupe Bloomberg, qui n'a pas réussi son "Super Tuesday", malgré plus de 500 millions de dollars dépensés en clips de campagne. Sa position dans les sondages. Son hospitalisation pour un infarctus, en octobre, a soulevé des questions sur son âge avancé, rappelle le Washington Post*. L'ancien vice-président appelle également au développement d'une économie tournée vers les classes moyennes (notamment grâce à un salaire horaire minimum de 15 dollars, contre 7,25 aujourd'hui). Elle a jeté l'éponge lundi 2 mars, à la veille du Super Tuesday. (STEPHEN MATUREN / AFP). Il souhaite également instaurer une taxe sur la fortune des 0,1% de foyers américains les plus riches, détaille le, (JERKER IVARSSON / AFTONBLADET / TT NEWS AGENCY / AFP).

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