:Big Giant Wave) Le montage très intuitif confère une cohésion parfaite à l’ensemble. Il y est question de musique, mais au sens large. C’est un choix brillant puisque, « malgré » la facture magnifique, l’œil n’est jamais distrait par la couleur, ce qui renforce la focalisation sur la dimension sonore et musicale. Comme une vague (v.o.a.s.-t.f.) Un frisson. Voulez-vous activer les alertes du navigateur. En effet, le personnage principal du film, la musique, est invisible, immatériel. Conçu comme une vague cinématographique, ce documentaire nous porte de Montréal à Crémone en passant par la Suède, le Mexique et la Côte Ouest américaine à la rencontre de scientifiques et d’artistes fascinants qui, depuis leurs divers horizons, illustrent le lien essentiel entre le rythme, la musique, notre planète, le cerveau, la vie quotidienne et notre humanité collective. ». Tout le monde est d’accord que la musique est puissante, mais quand s’arrête-t-on pour y réfléchir ? Si vous aviez réservé votre billet pour l'une des représentations à venir, vous serez remboursé automatiquement. Avis, critiques, vidéo, photos, distribution… Mon compte La musique est le fait de tous, un dénominateur commun à chaque être humain. Le film de Marie-Julie Dallaire s’avère un enchevêtrement exquis de témoignages érudits ou personnels, et de passages plus impressionnistes ou poétiques. La musique est le personnage principal et ces personnes incarnent une facette de la musique. Courrier International relaye cette information et j’en fais alors la lecture à ma grand-mère, juive originaire de Roumanie. retour. Marie-Julie Dallaire nous subjugue dans sa manière de filmer l’humain et de le mettre en lumière à travers cette relation avec la musique et ses prémisses, d’ailleurs de nombreux visages se livrent à la caméra de la réalisatrice de Notre Père, de Cosmos, on retrouve le dj Osunlade, la musicothérapeute Tiana Malone. Conçu comme une vague cinématographique, cet essai documentaire nous porte de Montréal à Crémone en passant par la Suède, le Mexique et la Côte Ouest américaine à la rencontre de scientifiques et d'artistes fascinants qui, depuis leurs divers horizons, illustrent le lien essentiel entre le rythme, la musique, notre planète, le cerveau, la vie quotidienne et notre humanité collective. Un frisson. D’abord, le son est habituellement là pour soutenir l’image. Quels morceaux de nous la tempête a-t-elle emportés avec elle . pour consulter À l’inverse, on voulait que l’image soutienne le son. « Comme c’est un documentaire tourné un peu partout, des facteurs comme les décors et les températures de lumières étaient hors de notre contrôle. Oui, piquante. Le documentaire Comme une vague est présenté en compétition au FIFA et prendra l’affiche le 2 avril. Du lundi au samedi, découvrez l’essentiel de l’actualité. Une splendeur rehaussée par une direction photo noir et blanc qui à la fois épure et magnifie. Nous avons utilisé une stedicam, par exemple. Avec Patrick Watson, Tom Wilder, Tiana Malone. « J’avais ma vision pour me guider et un très bon monteur, Louis-Martin Paradis. Le long métrage Comme une vague, de Marie-Julie Dallaire, tient autant du documentaire que du film d’art et d’essai. Or, le fait est que c’est au final la bande-son qui envoûte davantage. J’avais pourtant mis mon réveil un peu plus tard ce matin, histoire de reprendre un peu de forces. D’ailleurs, c’est Josée Deshaies qui se demandait si nous avions vraiment besoin de les nommer. Retrouvez les témoignages des habitants ayant ressenti la secousse. Exploration du caractère universel de la … le violoncelliste Stéphane Tétreault, l’écologiste accoustique Gordon Hempton ou encore l’auteur-compositeur-interprète Patrick Watson. Souley Keïta : La musique se joue des tempéraments, de notre identité, de notre nom. Comme une vague est lancé vendredi en première mondiale au Festival international du film sur l’art (FIFA). Catégories : Chronique | Cinéma. 3 articles gratuits Les attentes étaient basses pour l’adaptation du roman d’A.J. C’est quoi ? Finn. Et pour cause : le film de Marie-Julie Dallaire est une ode à la musique dans toutes ses formes, même les plus insoupçonnées. Tout un défi! Résumé. Il y a des personnages comme Dream Orchestra ou Patrick Watson que l’on suit à travers la construction d’un concert, avec une structure plus narrative, mais sur d’autres éléments, il y a plus une volonté de faire ressentir que de dire… D’où les nombreuses années de travail (rires). Sauf que presque tout est beau en noir et blanc. Bandes-annonces et extraits du film Comme une vague (v.o.a. Au total, plus de 1200 pièces emblématiques d’Hollywood seront mises en vente en juin et juillet. Marie-Julie Dallaire rend hommage à la musique sous toutes ses formes, même les plus inattendues. 1 avril 2021 | Souley Keïta. Ce film a reçu la mention spéciale du Jury au festival vidéo Psy d'Auxerre et le prix des 10 meilleurs films au festival des entretiens de Bichat. Comme une vague (2020) réalisé par Marie-Julie Dallaire. Date de sortie au Québec : 2 avril 2021 Certes, le film alterne les séquences mettant en vedette une variété d’intervenants comme l’auteur-compositeur-interprète Patrick Watson (qui formule les paroles qui sont devenues le titre anglais Big Giant Wave), le violoncelliste Stéphane Tétreault, ou encore l’ethnomusicologue Nathalie Fernando, mais sont également sollicités des spécialistes comme le bioacousticien Gordon Hempton, alias « Sound Tracker », qu’on suit en forêt ou au bord de la mer, et qui capte les symphonies composées par la nature. Surtout, elle a … Le choix du noir et blanc est né du désir de mettre la trame sonore du film en avant-plan. Si le plan était fixe, il était toujours accompagné d’un flottement. et Big Little Lies. Conçu comme une vague cinématographique, ce documentaire nous porte de Montréal à Crémone en passant par la Suède, le Mexique et la Côte Ouest américaine à la rencontre de scientifiques et d’artistes fascinants qui, depuis leurs divers horizons, illustrent le lien essentiel entre le rythme, la musique, notre planète, le cerveau, la vie quotidienne et notre humanité collective. 87 min (V.O.A.S.-T.F.). Le documentaire dévoile des archives qui ont été cachées durant quatre décennies au gouvernement chinois. Scén. Comme une vague rend hommage à la musique, cette séquence de sons abstraite, immatérielle et invisible qui provoque dans le cerveau la même réaction que le … « Ç’a été un coup de cœur, un intense moment d’émotion, se souvient le réalisateur de C.R.A.Z.Y. Je me rappelle avoir dit à Marie-Julie : “Il faut qu’on montre ça à la planète. Comme une vague permet de mesurer combien vaste est la notion de musique. Marie-Julie Dallaire : Après le noir et blanc, c’était l’autre interrogation, comment cadre-t-on ce film, la musique et ses mouvements? Impossible de me rendormir. Gabriel - Modifié par Strumpfette le 1/11/2016 à 16:08 little boy62 Messages postés 3251 Date d'inscription lundi ... Tu peux effectivement faire comme te l'as conseillé dans son message #2 little boy62 (que je salue). Je ne dis pas que le noir et blanc est effacé, mais l’absence de couleurs est un désir de sobriété maximum dans l’image. Ça fait tellement longtemps qu’on n’a pas vécu ça, collectivement, un moment de cinéma, ensemble : tous ces moments de silence et de rires partagés… » Ce que Jean-Marc Vallée décrit là pourrait en l’occurrence être inséré dans le film, puisqu’il s’agit aussi de musique : celle de la salle. Présenté le 19 mars au Festival du film sur l’art, le documentaire Comme une vague est constitué d’une succession d’images toutes plus belles les unes que les autres. Comme une vague ne se veut pas un simple film hommage à la musique, il est une ode au pouvoir ultime de la musique : celui de rassembler. « On faisait face à un problème particulier, opine Marie-Julie Dallaire. Comme "une vague" traversant la maison, "une explosion de l'intérieur", " un coup de tonnerre", etc. Comme une vague. […] À mesure que je tournais, je voyais que les propos de telle personne répondaient à ceux de telle autre ; le film se structurait dans ma tête, se construisait, au fur et à mesure du tournage. Film de témoignages destiné à la formation des travailleurs sociaux. ». Comment on fait une vague tout seul [Fermé] Signaler. Notre parti pris sera peut-être contesté, mais on s’est dit, le noir et blanc, c’est des contrastes, c’est de la lumière, c’est de la texture est des lignes : il n’y a pas de couleur. C’était un choix conscient d’avoir une image en adéquation avec la musique. Souley Keïta : Dans une structure qui pourrait être classique, mais qui ne l’est pas, ce film soulève de nombreuses réflexions notamment de voir la musique comme un art politique, comme un art divin, comme une science émotionnelle, comme une nourriture tant pour l’âme que pour le corps. Dans mon cas, ç’a été six ans à temps plein, car entre les périodes de tournage, il y avait des périodes de montage image, mais aussi de montage son. Cela était un peu une surprise, car la référence venait de la plupart des personnages. Comme une vague. Jean-Marc Vallée, mélomane passionné s’il en est, est l’un des producteurs. Comme une vague émeut et impressionne tout autant par son esthétique enveloppante. Habituellement, le son est toujours important au cinéma, car il va soutenir l’image, il va la magnifier. Froide, aussi. biographie. Un documentaire lève le voile sur le rôle des médias dans la chute de la reine de la pop, qui est toujours sous tutelle. Conçu comme une vague cinématographique, ce documentaire nous porte de Montréal à Crémone en passant par la Suède, le Mexique et la Côte Ouest américaine à la rencontre de scientifiques et d’artistes fascinants qui, depuis leurs divers horizons, illustrent le lien essentiel entre le rythme, la musique, notre planète, le cerveau, la vie quotidienne et notre humanité collective. L’autre désir était d’unifier tous ces lieux et ces personnes filmés. Il y a des « momentums » comme le dit Patrick Watson dans le film, donc on monte dans le « momentum » puis il y a le ressac et ainsi de suite. Comme une vague (Big Giant Wave) (3) Documentaire canadien réalisé par Marie-Julie Dallaire. Synopsis. pour faire plonger le spectateur dans une profondeur musicale jamais explorée, était-ce crucial de montrer une autre facette de la musique? « Plus les personnages s’ajoutaient et plus on se rendait compte qu’on était en train de faire un film sur le pouvoir de la musique, note Marie-Julie Dallaire […].
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